Arrivée début mai, Janka Mosimann a été choisie par le comité de la FICD afin de remplacer Cédric Cerf parti sous d’autres horizons professionnels. Rencontre avec une jeune femme dynamique et déjà au service de nos organisations-membres.

J’ai hâte de découvrir les organisations-membres, de collaborer étroitement avec elles. Je me réjouis également de découvrir leurs différents projets et de connaître les résultats des actions qu’elles mènent sur le terrain. »

Âgée de 28 ans, Janka habite Delémont, localité où elle a effectué son école de commerce et sa maturité professionnelle commerciale. Une formation complétée par une passerelle DUBS qui lui a permis de rejoindre l’université de Neuchâtel en lettres et sciences humaines, pilier sociologie et sciences de l’information et de la communication. Après un premier semestre de découverte universitaire, une nécessité de revenir sur le terrain l’amena à quitter cette voie.

Janka, quels postes as-tu occupé avant de postuler à la FICD ?

J’ai tout d’abord travaillé en tant que secrétaire à la division commerciale du CEJEF avant de rejoindre la HES-SO, à Delémont, en tant que collaboratrice spécialisée. Puis, par la suite, j’ai collaboré à la HEP-BEJUNE à Bienne en tant que collaboratrice administrative. Actuellement, je travaille encore au SAS à Delémont en tant qu’administratrice. Un poste à 50 % qui se complète bien avec mon emploi à la FICD.

Comment as-tu découvert le poste proposé par la fédération ?

C’est simple. L’annonce m’a été transmise par une amie. J’ai tout de suite trouvé l’offre intéressante. Le taux de travail et le domaine d’activité étaient attractifs.

Tu es en place depuis le début du mois de mai, quelles sont tes premières impressions ?

Je ne me rendais pas bien forcément compte de l’influence de la politique sur la fédération. Avant d’y travailler et en consultant le site Internet, j’avais compris que c’était une faitière d’organisations. Mais, finalement c’est surtout au cours des entretiens que j’ai davantage pris conscience de ce que l’on attendait de l’assistant·e administratif·ve.

En outre, dans le descriptif du poste, il y a tout un pan lié à la communication qui m’intéresse énormément ; c’est donc différent des postes que j’ai occupés jusqu’à présent. En clair, c’est très enrichissant et j’espère également contribuer au développement de la FICD grâce à mes compétences et à mes connaissances.

Après bientôt deux semaines de prise de fonction, je me sens à l’aise dans les tâches à effectuer. J’en apprends un peu plus tous les jours. Mais, je commence à avoir un bon aperçu du fonctionnement de la fédération et des relations avec les différentes institutions qui interagissent avec la FICD.

Que te réjouis-tu de découvrir ?

Eh bien, j’ai hâte de découvrir les organisations-membres, de collaborer étroitement avec elles. Je me réjouis également de découvrir leurs différents projets et de connaître les résultats des actions qu’elles mènent sur le terrain.

J’espère apporter une dynamique supplémentaire aussi bien au niveau du secrétariat que des membres de la fédération. Et bien évidemment, j’espère prendre des initiatives qui seront un véritable apport pour la FICD.

D’un point de vue plus personnel, tu as voyagé en Amérique latine et même visité les projets du Groupe Nicaragua, une association membre de la FICD. Peux-tu nous en dire davantage ?

En 2018, j’ai pris un billet aller simple avec comme objectif de partir du Mexique afin de rejoindre la Colombie. C’était plutôt un voyage de découverte de l’Amérique centrale en mode « workaway[1] ». On allait généralement chez des personnes recommandées par des connaissances. C’est ainsi, que j’ai eu l’occasion de visiter les projets du Groupe Nicaragua. Par le passé, ma mère était membre de l’association. Ainsi, grâce à notre liste de contacts, nous avons visité les différentes maisons alors en construction. Une découverte passionnante !

[1] Réseau mondial qui met en relation des voyageurs prêts à donner un coup de main avec des hôtes qui ont besoin d’aide pour leurs projets ou leurs activités. Le voyageur est nourri et logé gratuitement à l’étranger contre des petites tâches. Le workaway est une voie de tourisme alternatif et économique, permettant de parcourir le monde en réduisant ses frais de voyage.

Propos recueillis par Bruce Rennes, chargé de projets ● FICD